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Journal de Lily Everhart 1
Les Pals. Ces étranges créatures.
Ces êtres nobles qui veillent sur notre civilisation depuis des temps immémoriaux.
Leur intelligence, leur condition physique et leur capacité d'adaptation hors du commun.
Leur apparence adorable. Comment ne pas les aimer ?
Les humains. Ces êtres barbares.
Éternels insatisfaits de leur propre prospérité, dominant et asservissant les autres espèces.
Leurs conflits inutiles. Leur régime à base de viande inutile. Leur perversité inutile.
Leur apparence disgracieuse. Comment ne pas les détester ?
Les humains capturent les Pals pour les exploiter.
Ils les enferment dans ces soi-disant « sphères de Pals », qui les soumettent corps et âme à leurs détenteurs.
Ces outils abominables symbolisant le déclin de notre civilisation.
À l'origine, Pals et humains étaient censés vivre en harmonie, d'égal à égal.
Qui a dit qu'une relation maître-serviteur décrivait cela ?
Consommer les Pals comme de la vulgaire nourriture relève ni plus ni moins à du blasphème.
Les Pals. Ces étranges créatures.
Ces êtres nobles qui veillent sur notre civilisation depuis des temps immémoriaux.
Leur intelligence, leur condition physique et leur capacité d'adaptation hors du commun.
Leur apparence adorable. Comment ne pas les aimer ?
Les humains. Ces êtres barbares.
Éternels insatisfaits de leur propre prospérité, dominant et asservissant les autres espèces.
Leurs conflits inutiles. Leur régime à base de viande inutile. Leur perversité inutile.
Leur apparence disgracieuse. Comment ne pas les détester ?
Les humains capturent les Pals pour les exploiter.
Ils les enferment dans ces soi-disant « sphères de Pals », qui les soumettent corps et âme à leurs détenteurs.
Ces outils abominables symbolisant le déclin de notre civilisation.
À l'origine, Pals et humains étaient censés vivre en harmonie, d'égal à égal.
Qui a dit qu'une relation maître-serviteur décrivait cela ?
Consommer les Pals comme de la vulgaire nourriture relève ni plus ni moins à du blasphème.